La vérité sur les liens officieux des dirigeants algériens avec Israël, éclate au grand jour

La vérité a éclaté au grand jour sur les liens qu’entretiennent en catimini les dirigeants algériens avec l’Etat d’Israël, lorsqu’un avion militaire brésilien qui venait de l’aéroport David Ben Gourion de Tel-Aviv, avec à son bord une livraison d’un don israélien de vaccins anti-covid, a atterri pour une escale, à l’aéroport Houari-Boumediene d’Alger.

Les dirigeants algériens ont pourtant vivement critiqué le récent rapprochement du Maroc avec Israël qu’ils considèrent leur ennemi juré à l’instar de l’Iran, mais les faits sont là pour prouver tout le contraire et le degré d’hypocrisie des coéquipiers du président Abdelmadjid Tebboune et du vieux Chef d’Etat major, Saïd Chengriha qui disparu des écrans depuis la réactivation du mouvement contestataire anti-régime le Hirak dans le pays.

Le journaliste israélien Itay Bluemental, spécialiste de l’aviation, qui a été le premier, avec son collègue Daniel Salami, à révéler sur witter, l’information selon laquelle un avion militaire brésilien chargé de vaccins anti-covid-19, a atterri à l’aéroport international d’Alger en provenance d’Israël, malgré les démentis relayés par les médias algériens.

Les deux journalistes israéliens estiment que les responsables algériens sont «embarrassés» par cette situation avant de conclure que  «la vérité finit toujours par éclater».

Pour corroborer son information, Itay Bluemental a joint à son tweet, une vidéo montrant le trajet de l’avion brésilien entre Tel-Aviv et Alger. Repris par le quotidien israélien Yediot Aharonot, le tweet a été largement commenté comme une «première» pour ce qui est des rapports algérien-israéliens.

Cette affaire a révélé au monde entier la profonde hypocrisie du régime algérien qui crie sur les toits son hostilité à Israël en prêchant depuis des années un discours antisémite et aux millions de citoyens algériens que leurs dirigeants n’hésitent plus à frapper même à la porte de leur soi-disant ennemi juré pour quémander des vaccins qu’ils n’arrivent pas à se procurer pour sauver la face à l’heure où plus de quatre millions de citoyens chez le voisin marocain ont déjà reçu gratuitement leur première dose du vaccin anti-covid-19.