La jeune-femme sahraouie Khadijatou raconte devant les eurodéputés, le récit de son viol par le chef du polisario B. Ghali

La Sahraouie naturalisée espagnole,  Khadijatou Mohamed Mahmoud, victime d’un viol commis en Algérie par le chef du Polisario, Brahim Ghali, a témoigné lors d’une audition publique au le 13 octobre au Parlement européen à Bruxelles, sur «les violences sexuelles et le viol comme abus de pouvoir», organisée par la Commission des droits des femmes et de l’égalité des genres, la Commission FEMM du PE.

Invitée par des députés européens, Khadijatou Mahmoud a du faire face lors de son audition, à l’harcèlement et au matraquage des lobbies pro-polisario, financés par l’Algérie, qui tentaient d’étouffer sa voix et de l’empêcher de témoigner sur l’une des atrocités que commettent les mercenaires du Polisario et à leur tête le sanguinaire Brahim Ghali poursuivi par la justice espagnole pour plusieurs crimes contre l’humanité .

Pourtant, Khadijatou Mohamed Mahmoud insiste pour témoigner du viol dont elle a été victime et dont le triste auteur n’est autre que Brahim Ghali, le chef du groupe séparatiste du polisario, qui a abusé d’elle en toute impunité alors qu’il occupait le poste du soi-disant ambassadeur de la chimérique république sahraouie « RASD » à Alger.

Khadijatou Mohamed Mahmoud a quand même réussi  à dénoncer les abus de son violeur Brahim Ghali dans le cadre des auditions de la Commission FEMM du Parlement européen sur « Les violences sexuelles et le viol comme abus de pouvoir ». Il s’agit d’un témoignage bouleversant contre le chef du mouvement séparatiste, au cours duquel les députés européens ont pris connaissance du calvaire enduré par une femme victime d’un viol, alors qu’elle était âgée de 18 ans à peine.

En insistant pour que justice lui soit rendue, Khadijatou raconte le viol inqualifiable dont elle a été victime en 2010, quand elle s’est rendue à la soi-disant ambassade du polisario à Alger pour obtenir une autorisation de sortie des camps de Tindouf.

Sans jeter un regard sur les papiers présentés par la jeune fille, Brahim Ghali qui était à la tête de « l’ambassade » du groupe séparatiste à Alger, met les documents de côté et se jette sur Khadijatou qu’il viole avec une telle brutalité qu’elle en porte encore les terribles stigmates psychologies.

Aujourd’hui, cette jeune-femme sahraouie qui vit en Espagne, demande justice pour que le chef des mercenaires du polisario ne continue plus à jouir de l’impunité et qu’il soit arrêté et traduit en justice.