Exclusif : Brahim Ghali prépare une ultime demeure pour une retraite paisible sur le sol algérien

Brahim Ghali, chef du front séparatiste «Polisario» qui a complètement échoué à concrétiser ses chimériques revendications d’une partie du Sahara Occidental marocain, serait en train de préparer sa retraite dans un palais qu’il s’active à construire près de Rabouni dans les camps de Tindouf en plein territoire algérien.

Après le coup de massue qu’il a reçu tout récemment, du Conseil de Sécurité de l’ONU suite à l’adoption de la dernière résolution 2779 sur le Sahara et dans laquelle il admet officiellement que le Plan d’autonomie marocain constitue la base de toute solution à ce litige territorial régional, le Chef des mercenairesdu Polisario a choisi de s’installer définitivement en Algérie, car il n’a plus où s’exiler ni en Mauritanie, ni en Espagne, ni ailleurs, par peur d’être arrêté et condamné pour les nombreux crimes crapuleux qu’il avait commis ou commandité.

Le comble c’est que pour achever les travaux de son palace et de le meubler, Brahim Ghali qui manque d’argent liquide, a ordonné au «croissant rouge sahraoui», de lancer un nouvel appel aux donateurs pour une aide urgente de 100 millions de dollars destinée officiellement à l’acquisition d’aliments et de médicament au profit des habitants des camps dans le besoin et officieusement pour s’offrir une ultime demeure.

Néanmoins, certains observateurs qui suivent de près ce dossier, préviennent d’ores et déjà que ces fonds ne seront pas dépensés au service des vrais destinataires, mais iront en grande partie, dans les poches de Brahim Ghali et de ses proches collaborateurs en partage avec certains galonnés de l’armée algérienne qui feront en contrepartie, la sale besogne d’étouffer ce scandale s’il venait à éclater au grand jour.

Comme se fût le cas en janvier 2015, lorsque l’Office européen antifraude (OLAF) révéla dans un rapport bien documenté, que des dirigeants et notables du Polisario procèdent depuis des années en complicité avec des responsables civils et militaires algériens, à des détournements massifs d’une grande partie des aides humanitaires internationales destinées aux populations séquestrées dans les camps de Tindouf.

De surcroît, le refus catégorique de l’Algérie d’autoriser en tant que pays d’accueil de ces soi-disant «réfugiés sahraouis», le recensement de ces déplacés, laissant libre court aux détournements à grande échelle des aides internationales.

En plus, la surestimation des effectifs réels des habitants des camps de Tindouf a permis l’établissement de ce système bien élaboré de détournement et de revente de l’aide alimentaire sur les marchés noirs en Algérie et dans d’autres pays voisins.