La Russie épingle le journal algérien Echorouk pour ses fake news sur ses relations avec le Maroc

La diplomatie russe a épinglé ce jeudi, les vaines tentatives du journal algérien Echorouk d’altérer les bons rapports entre le Maroc et la Russie, à travers des fake news mensongers et des informations fabriquées de toutes pièces par ce média.

«Le journal algérien Echorouk se livre à la désinformation, au mensonge éhonté et aux manipulations des faits pour porter préjudice aux relations entre la Fédération de Russie et le Royaume du Maroc», indique jeudi le ministère russe des affaires étrangères (MID).

Dans un article de son service de presse publié sur son site Web officiel, le ministère russe cite un article publié récemment par Echorouk et intitulé: «l’Algérie est à l’origine du déclenchement de la crise entre la Russie et le Maroc», précisant qu’il s’agit d’une fausse information «fabriquée par le journal Echorouk» qui « revendique sans aucun doute un prix dans deux nominations à la fois «Classic Sample of Désinformation » (Échantillon classique de Désinformation) et «Pseudo-analytique».

Parmi la désinformation et le mensonge colportés par le média algérien, le MID cite le rappel de l’ambassadeur russe à Rabat, Valery Shuvaev pour consultations et le report par Moscou de la 4ème session du Forum russo-arabe.

Le ministère s’inscrit en faux contre les allégations mensongères du journal algérien, précisant que l’ambassadeur russe a regagné son pays pour ses vacances et en a informé les autorités marocaines.

Tout en qualifiant les informations sur une crise maroco-russe de «fausses» et n’existant que dans l’imagination de leur auteur», la diplomatie russe a dénoncé dans son démenti officiel, les tentatives du journal algérien Echorouk et d’autres médias algérois visant à nuire aux relations bilatérales entre Moscou et d’autres pays, dont le royaume du Maroc.

A défaut d’arguments solides et objectifs, les hauts dirigeants civils et militaires et des médias algériens sont devenus champions des fake news surtout à l’endroit de leur bête noire, le voisin marocain qui les a terrassés ces derniers temps, dans la bataille diplomatique autour du dossier du Sahara en Afrique, comme en Europe ou aux Nations Unies.